La Poésie de l’encre
Tradition lettrée en Corée
Du 16 Mars au 6 Juin 2005
Musée des arts asiatiques-Guimet, Paris
Scénographie par Kim Sang Lan
Concept de la scénographie
Les portes signifient l’entrée de l’espace et du temps – Portique de tombe pour saluer nos ancêtres ; porte extérieure qui marque le seuil, pour pénétrer dans la maison, puis portes intérieures qui se succèdent une fois le seuil franchi, une fois entré dans la maison. Division de l’espace par les murs et la forme des portes, en respectant la conception architecturale des salles du musée Guimet, en cherchant l’harmonie et la continuité; espace subdivisé en petites salles, piliers cylindriques en bois et tapissés en papier coréen (kaiji), en utilisant la longueur des galeries, en jouant la perspective – dimensions différentes de la largeur des portes.
1. Foyer:
Installer un grand portique, portique symbolique « peint » en brun-rouge selon les codes traditionnels pour saluer nos ancêtres de la Corée Choson ; Espace subdivisé en trois salles, chacune marqué par une porte, nuance porte extérieure.
2. Salle Boissière et Salle Iéna, :
Galeries divisées là aussi en plusieurs salles, chacune séparée des autres par des portes et des murs, nuance porte intérieure. Portes rondes et rectangulaires ; pavillon comme estrade, en laissant la rotonde entre les deux salles comme un passage plus libre, un espace dégagé, comme une détente ou une respiration au cours de la visite, un« jardin intérieur».
Kim Sang-Lan, 21.02.05